Quatre diapasons pour Bernardina dans le Diapason n°702 ! "On se croirait presque au cinéma. Avec (...) en 13 scènes l'histoire d'une rivalité imaginée entre trois femmes — deux élèves de Don Antonio à La Pietà et l'inévitable Anna Giro — qui se termine par un coup de théâtre digne du Mozart et Salieri de Pouchkine"... une jolie critique signée Roger-Claude Travers, qui rend hommage aux trois musiciens et à la nouvelle d'Arièle Butaux...Il souligne la cohérence historique de l'ouvrage, notamment enrichie par une postface signée d'Olivier Fourés !